Actuellement, avec les nouvelles technologies et découvertes digitales, on a tendance à oublier les arts les plus ancestraux. Parmi ceux-là, vous avez notamment la forge et la coutellerie, des pratiques très importantes aussi bien dans l’ancien temps, mais également à l’heure actuelle.
La forge et la coutellerie, qu’est-ce que c’est ?
Vous vous en doutez peut-être, mais lorsqu’on parle de forge, on parle surtout de métal, de feu, et surtout la force de frappe. La forgerie est en effet l’art de créer des outils ou ustensiles à l’aide de ces trois éléments cités ultérieurement. En d’autres termes, lorsqu’on associe la forge à la coutellerie, on comprend que la forge est un ensemble de méthodes de fabrication coutelière que l’on obtient avec la dissociation de pièces en acier découpées. Étant donné qu’actuellement, cet art est de moins en moins connu, on vous propose de décrypter quelques aspects de la forge et de la coutellerie.
La forge et la coutellerie, des origines anciennes
Les premiers forgerons ne sont apparus qu’à l’âge de bronze. Suite à cet âge glorieux, l’âge de fer ou la technique du feu a commencé à être en constante évolution. À cette époque, le savoir forgeron des forgerons était vénéré étant donné que peu de personnes n’avaient la capacité de faire ce qu’ils faisaient. La forge origine date donc depuis bien longtemps qu’on ne le pense.
Un couteau forgé, qu’est-ce que c’est ?
Généralement, on associe le terme de couteau forgé à un couteau lorsque celui-ci est réalisé à l’aide d’une barre d’acier forgé à chaud. En effet, de nombreuses autres méthodes existent pour la fabrication des couteaux.
Un couteau forgé peut également se retrouver sous de nombreuses formes. Soit le couteau en question a été entièrement forgé ou en d’autres termes réalisé avec l’aide d’une seule et même barre d’acier sans aucune soudure. Soit il a été partiellement forgé et donc avec uniquement une lame de couteau forgé et non la manche. Sinon, il se peut également qu’un même couteau soit issu de deux forges, c’est-à-dire que la tête du couteau et le manche de celui-ci ont d’abord été forgés séparément pour ensuite être soudés l’un à l’autre.